• Premier extrait proposé dans le coin des extraits littéraires

     

     

    Voici quelques extraits choisis du roman

    " Muchachas -T1  "

    de katherine Pancoll.

     

    Les autres extraits suivront bien vite car je suis bien loin dans le livre...

     

    " Il cherche son téléphone dans sa poche, ne le trouve pas, j'ai dû le laisser à la maison.  Il l'oublie tout le temps.  Il n'aime pas ce lien qui le relie au monde sans qu'il en émette le voeu."    p 28

     

    " - Parce que moi, quand je commence à avoir peur, je prends un gros marteau et j'écrase ma peur.  Je te jure! Et je dis même pas peur, même pas peur, en imaginant que je lui tape dessus.

    - Et ça marche?

    - Très bien.

    -C'est Adrian qui t'a appris ça?

    - Oui, et il m'a dit aussi de veiller sur toi."    p 122

     

    " La nuit, Joséphine se dit que le bonheur n'est pas une marchandise qu'on pose sur le comptoir, qu'on pèse et qu'on achète pour mieux le posséder, c'est un état d'esprit, une décision de l'âme.  Le bonheur, c'est d'avoir les yeux grands ouverts et de le chercher partout.  

    Et elle a décidé d'être heureuse."     p 131

     

    " - C'est un art de recevoir l'amour qu'on vous donne.

    - Toi, tu sais très bien.

    -J'ai appris.

    - Et comment on fait?

    - On apprend d'abord à s'aimer soi-même.  On se dit qu'on mérite cet amour.  Dis-toi que tu es une femme formidable.

    - Je ne peux pas.  impossible.

    -Prends modèle sur Hortense.

    - Elle en sait plus que moi! soupire Joséphine.

    - Elle est comme cette jeune fille...sûre d'elle.  Parce qu'elle repose sur un socle solide: l'amour de sa mère."     p 177

     

     

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    Premier extrait proposé dans le coin des extraits littéraires

     

     

    Voici tous les extraits choisis du roman

    " Vampire Academy  "

    de Richelle Mead.

     

    Ma lecture étant terminée, la chronique suivra bientôt!

     

    " Je ne suis pas ton amie parce que je suis sympa.  Si tu voulais du sympa, tu n'avais qu'à piocher dans le troupeau de brebis bêlantes qui s'entre-tueraient pour être vues avec la princesse Dragomir.  Je suis ton amie parce que je te dis la vérité."     p55

     

    - Il ne s'est rien passé! avait-elle chuchoté d'une voix pressante, les yeux exorbités.  Tu m'entends?  Rien.  Et tu ne dois en parler à personne, personne.  Toi non plus, Rose.  Promettez-le moi!

    Lissa et moi avions échangé un regard inquiet et promis tout ce qu'elle voulait, ce qui l'avait un peu apaisée.

     - Et tu ne dois surtout pas recommencer.  Ils le découvriraient et ils essaieraient de se l'approprier.  (Elle s'était tournée vers moi.)  Tu ne dois pas la laisser faire, Rose.  Jamais."    p 128-129

     

    "Je pris subitement conscience qu'il me tenait toujours plaquée au sol.  Ses mains qui immobilisaient mes poignets étaient chaudes, son visage se trouvait à quelques centimètres du mien et il pesait sur moi de tout son poids.  Quelques mèches brunes échappées de sa queue-de-cheval encadraient son visage, et il semblait m'examiner avec autant d'intérêt que moi, comme il l'avait ait dans le salon abandonné.  surtout, il sentait bon...  Cette découverte entrava davantage ma respiration sans que notre position y soit pour rien."   p 136

     

    " - "Autre chose"? Je suis censée m'être tapée toute l'équipe de basket?

    - Il a dit... Ils ont dit, tous les deux, que tu les avais laissé...boire ton sang.

    J'en restai bouche bée.  Leur offrir mon sang pendant l'amour.  La plus obscène et la plus dégradante des accusations.  C'était bien pire que de passer pour une fille facile ou une salope; mille fois pire encore que d'avoir offert mon sang à Lissa par nécessité.  On m'accusait d'être une catin rouge."    p 162

     

     

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    Premier extrait proposé dans le coin des extraits littéraires

     

     

    Voici tous les extraits choisis du roman

    " Le Petit Prince  "

    d' Antoine de Saint-Exupéry.

     

    Ma lecture étant terminée, la chronique suivra bientôt!

     

    " Si quelqu'un aime une fleur qui n'existe qu'à un exemplaire dans les millions et les millions d'étoiles, ça suffit pour qu'il soit heureux quand il les regarde.  il se dit: "Ma fleur est là quelque part..." Mais, si le mouton mange la fleur, c'est pour lui comme si, brusquement, toutes les étoiles s'éteignaient!"   p 34

     

    " J'aurais dû la juger sur les actes et non sur les mots.  Elle m'embaumait et m'éclairait.  Je n'aurais jamais dû m'enfuir!  J'aurais dû deviner sa tendresse derrière ses pauvres ruses.  Les fleurs sont si contradictoires!  Mais j'étais trop jeune pour savoir l'aimer."   p 37

     

    Extraits du roman {Le Petit Prince} d'Antoine de Saint-Exupéry

     

    " Il est bien plus difficile de se juger que de juger autrui.  si tu réussis à te juger, c'est que tu es un véritable sage."    p 45

     

    " Je possède une fleur que j'arrose tous les jours.  Je possède trois volcans que je ramone toutes les semaines.  Car je ramone aussi celui qui est éteint.  On ne sait jamais.  C'est utile à mes volcans, et c'est utile à ma fleur, que je les possède.  Mais tu n'es pas utile aux étoiles..."    p53

     

    Extraits du roman {Le Petit Prince} d'Antoine de Saint-Exupéry

     

    " - Que signifie "apprivoiser"?

    - C'est une chose trop oubliée, dit le renard.  Ca signifie "créer des liens...".

    - Créer des liens?

    - Bien sûr, dit le renard.  Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons.  Et je n'ai pas besoin de toi.  Et tu n'as pas besoin de moi non plus.  Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards.  Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre.  Tu seras pour moi unique au monde.  Je serai pour toi unique au monde.

    - Je commence à comprendre, dit le petit prince.  Il y a une fleur...je crois qu'elle m'a apprivoisé..."   p71-72

     

    "S'il te plait...apprivoise-moi! dit-il.

    - Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps.  J'ai des mais à découvrir et beaucoup de choses à connaître.

    - On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard.  Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître.  Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands.  Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.  Si tu veux un ami, apprivoise-moi!

    - Que faut-il faire? dit le petit prince.

    - Il faut être très patient, répondit le renard.  Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe.  Je te regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien.  Le langage est source de malentendus.  Mais chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près..."   p 73

     

    Extraits du roman {Le Petit Prince} d'Antoine de Saint-Exupéry

     

    " Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore.  On ne peut pas mourir pour vous.  Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble.  Mais à elle seule, elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée.  Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe.  Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent.  Puique c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons).  Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire.  Puisque c'est ma rose."      p76

     

    Extraits du roman {Le Petit Prince} d'Antoine de Saint-Exupéry

     

    " - Voici mon secret.  Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le coeur.  L'essentiel est invisible pour les yeux.

    - L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.

    - C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.

    - C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose..., fit le petit prince, afin de se souvenir.

    -Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard.  Mais tu ne dois pas l'oublier.  Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé.  Tu es responsable de ta rose..."     p76-77

     

    " - Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j'habiterai dans l'une d'elles, puisque je rirai dans l'une d'elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles.  Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire!

    Et il rit encore.

    - Et quand tu seras consolé (on se console toujours) tu seras content de m'avoir connu.  Tu seras toujours mon ami.  Tu auras envie de rire avec moi.  Et tu ouvriras parfois ta fenêtre, comme ça, pour le plaisir...  Et tes amis seront bien étonnés de te voir rire en regardant le ciel.  Alors, tu leur diras: "Oui, les étoiles, ça me fait toujours rire!" Et ils te croiront fou.  Je t'aurai joué un bien vilain tour..."

    Et il rit encore.

    - Ce sera comme si je t'avais donné un tas de grelots qui savent rire...

    Et il rit encore.  puis il redevint sérieux:

    - Cette nuit... tu sais... ne vient pas.

    - Je ne te quitterai pas.

    - J'aurai l'air d'avoir mal... j'aurai un peu l'air de mourir.  C'est comme ça.  Ne viens pas voir ça, ce n'est pas la peine...

    - Je ne te quitterai pas."    p 91-92

     

    Extraits du roman {Le Petit Prince} d'Antoine de Saint-Exupéry

     

     

    Extraits et aquarelles de l'auteur!

     

     

    Extraits du roman {Le Petit Prince} d'Antoine de Saint-Exupéry

     

     

    Y a-t-il d'autres extraits de ce livre qui vous parlent?  

    Si oui, n'hésitez pas à les laisser en commentaire ;-)

     

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    Premier extrait proposé dans le coin des extraits littéraires

     

     

    Voici les derniers extraits du roman

    " Eurhope  "

    de Myra G. Sellier.

     

    Ma lecture étant terminée, la chronique suivra bientôt!

     

    " - Je suis conditionné depuis l'enfance pour prendre sa succession.  Le peuple doit élire son président et je ne suis pas certain de gagner , mais je ferai tout pour réussir.

    Peter avait raison.  Finalement, je suis naïve...  ou plutôt novice en stratégie politique.  Le pouvoir...est-ce le graal ultime?  Qu'apporte-t-il en dehors de responsabilités écrasantes et dangereuses?

    - Pourquoi veux-tu être aux commandes?  Pour entrer dans l'Histoire?  C'est une place prestigieuse, une belle vitrine sur le monde; mais qu'en feras-tu?

    - Je ne suis pas seulement le petit-fils de Stone.  J'ai un cerveau, je sais réfléchir et personne ne me manipule.  Tu crois que je me contenterai des dîners officiels et des parades intercontinentales?  Je veux changer les lois, rétablir l'égalité pour tous les citoyens.  Tu t'imagines être libre?  Ce n'est pas le cas.  Même ton corps est manipulé par l'Etat.  Je veux être Président, mais un président juste et honnête pour son peuple.  Aujourd'hui, Tyler Bones est à l'opposé de mes convictions et je ferai tout pour le contrer.

    Son discours l'anime d'une fougue idéologique que je ne soupçonnais pas.  Un sentiment de fierté amoureuse monte en moi, comme si j'avais trouvé mon double au masculin.  J'ai toujours été attirée par son physique, c'est indéniable, mais j'ai maintenant la confirmation que nous sommes faits l'un pour l'autre.  Nous avons le même regard sur le monde et l'envie de changer les injustices."     p123

     

    " Il s'élance à ma rencontre; nous nous retrouvons au milieu de la rue.  La pluie ruisselle sur son torse, ma robe mouillée dessine mes formes.  Ma poitrine se soulève, j'essaie de reprendre de l'air.  Nous sommes face à face, quelques centimètres nous séparent.  Je cligne des yeux, ma vue est brouillée par le torrent de pluie s'abattant sur nous.  Il respire de façon saccadée, la bouche entrouverte, et me fixe.  Mes yeux ne peuvent se détacher de son corps presque nu à travers ses vêtements trempés.  Mon Dieu!  Qu'il est beau! Je me fais violence pour ne pas me blottir contre lui et crier "Pardonne-moi!".  "    p 139

     

    Derniers extraits du roman dystopique "Eurhope" de Myra G. Sellier

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    Premier extrait proposé dans le coin des extraits littéraires

     

     

    Voici les premiers extraits du roman

    (en cours de lecture, il y en aura donc d'autres):

     

    " Eurhope  "

    de Myra G. Sellier.

     

    " Ma mère n'a toujours pas compris: je ne veux pas d'une autre famille! Il est hors de question d'enfanter pour l'Etat et de me marier.  Je lui en ai déjà parlé, mais elle ne veut tout simplement pas l'entendre.  Une vie parfaite, programmée à l'avance.  Tout le monde doit entrer dans le même moule doré.  Le problème: je ne suis pas du genre à suivre le protocole et à ne rien décider de ma vie! Je suis une jeune fille, ou plutôt une femme maintenant au sens légal d'ici quelques heures.  Je vais prêter serment et trouver mon métier; j'ai bien l'intention de travailler, d'apporter ma contribution à la collectivité, mais je ne veux pas avoir d'enfant.  Certaines de mes camarades d'école semblent prêtes et désireuses d'avoir leur Premier Né.  D'ailleurs pour beaucoup, c'est comme préparer le futur nid de leur enfant légitime.  Elles modèlent leur ventre pour le fruit de leur amour avec leur mari.  Elle pourront alors l'élever et s'occuper des oeuvres ou associations collectives de la ville pour la plupart.  Mes entrailles ne réclament pas ce sacrifice: je ne pourrai jamais abandonner cet être pour raison d'Etat.  Et dépendre de mon mari potentiel ne fait pas non plus partie de mon idéal de vie."    p21

     

    " - Ta petite amie va te chercher, tu devrais aller la retrouver.

    - Je n'ai pas de petite amie.

    - Et cette fille, la danseuse excitée, comment l'appellerais-tu?  Ta conquête du jour?

    - Si je te connaissais un peu plus, je dirais que tu es jalouse...

    Un sourire ravageur illumine son visage.

    - Ne prends pas tes désirs pour la réalité, play-boy!

    Il s'approche, j'ai le dos collé contre le pilier.  Son torse frôle ma poitrine, il baisse la tête et me dévisage lentement.  Mon coeur bat la chamade.  Je frissonne.  Sa bouche s'approche de la mienne, sa main passe dans le creux de mes reins, il m'attire contre lui.  Je me contrôle pour ne pas l'embrasser la première, ma respiration s'accélère.  Ses lèvres s'entrouvrent, je me laisse glisser vers le délice promis... mais sa tête dévie légèrement.

    - Je suis plus malin que toi ma belle, me chuchote-t-il au creux de l'oreille.

    Son étreinte se desserre, son regard se plonge dans le mien, je m'y perds.  Le temps de retrouver mes esprits, je suis seule et vois son dos s'éloigner dans la nuit."     p56

     

    " Des bruits de pas nous parviennent du couloir.  Bruce se lève et se dirige vers la porte, je le suis.  Des pas approchent, mêlés dans une conversation étouffée.

    - Ca va prendre encore combien de temps?

    - Aussi longtemps qu'il le faudra.  Il ne faut pas éveiller les soupçons; ils ne trouveront rien.  Soyez patients, le président décline et personne ne peut rien y faire.

    - Avez-vous reçu les enfants?

    - Oui.  Nous avons commencé les premiers tests.

    - Je veux être informé régulièrement des résultats.

    Bien sûr, monsieur.

    - Et pour les fichiers des nouveaux nés?

    - Toutes les précautions ont été prises.  De toute façon, personne ne pourra remonter jusqu'à vous.

    - Très bien.

    Les dernières phrases sont plus diffuses.  Une porte claque, les pas disparaissent.

    Je regarde Bruce, hésitant entre le rire et l'effroi.  La situation me semble surréaliste.  Suis-je en train de rêver ou d'imaginer l'impensable?  Il ne paraît pas surpris, ce qui m'intrigue encore plus.

    - Je ne suis pas sûre de comprendre... Ou plutôt j'ai peur d'avoir...

    - Viens, je te ramène chez toi, c'est dangereux de rester ici."   p 80

     

     

    Les premiers extraits du roman {Eurhope} de Myra G. Sellier

     

     

     

     

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